Le COVID-19 sévi dans tous les continents et les nations s’appliquent par des dispositifs de prévention et d’abdication de la pandémie. Les services publics ou privés fonctionnent au ralenti ou à l’arrêt momentané des services. De nombreuses actions humanitaires, de services de protections des enfants subissent les conséquences.  Face à cette situation, des mesures de protections adaptées, conformes aux normes des droits  de l’enfant doivent être sauvegardées.    

                                          

Le COVID-19, comme toutes autres maladies infectieuses peuvent perturber l’environnement dont nous vivons. Les enfants demeurent particulièrement les plus exposés dus à l’aspect de leur immaturité physique et mentale.

Il s’agit d’un moment spécifique qui mérite une attention particulière dans la prise en compte des droits que disposent les enfants que ce soit dans les mesures de prévention édictées, les soins de traitement ou l’accès à la sensibilisation sur la maladie du COVID-19. Les enfants doivent ressentir aucune discrimination, de stigmatisation ou toutes autres formes de maltraitance physique, psychologique et d’exploitation liées au COVID-19 qui peuvent exposer davantage les enfants.

Dans la mesure de protection de l’enfant contre le COVID-19 et les autres maladies infectieuses, selon les Standards Minimum pour la Protection de l’Enfance dans l’action humanitaire (SMPE) dans la prévention des épidémies de maladies infectieuses et les interventions en la matière imposent une coordination et une collaboration étroite de plusieurs secteurs. Cette intervention doit avoir un résultat global répondant aux aspirations des besoins. A cet effet, les acteurs de la protection de l’enfance doivent envisager de collaborer avec tous les secteurs impliqués. La priorité sera faite  sur les  procédures standard pour la documentation et l’orientation des cas d’enfants qui nécessites un suivi éventuel, la communication claire, coordonnées et adaptée aux enfants au sujet des risques et vulnérabilités spécifiques pour les enfants, la collaborer sur les audits de sécurité et répondre à tous besoins en matière de sécurité dans des centres de nutrition entre autres.

Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), dans le cadre de travail avec le Gouvernement, les acteurs de la protection de l’enfance doivent plaidoyer pour veillez à l’application de mesures de lutte contre le COVID-19 qui soient conformes aux normes internationales, qui correspondent aux recommandations et qui s’appuient sur les droits de l’homme et qui soient non discriminatoires et proportionnées.

Par ailleurs, il est à rappeler aux acteurs de protections que toutes mesures de prévention ou de traitement de cette pandémie inclus des  dispositifs permettant de répondre convenablement aux normes sollicitées qui garantissent aux enfants des conditions  favorables et apaisées.

 

La communication  GRADEM